> 🔥 “Le Sahel se lève : l’AES déploie sa force conjointe contre les menaces et les ingérences”
⚔️ L’AES ACCÉLÈRE LA MISE EN PLACE DE SON ARMÉE CONJOINTE : L’AFRIQUE DU SAHEL S’ORGANISE FACE AUX MENACES 🇲🇱🇧🇫🇳🇪
Niamey, 7 novembre 2025 —
Les ministres de la Défense du Mali (Sadio Camara 🇲🇱), du Burkina Faso (Célestin Simporé 🇧🇫) et du Niger (Salifou Mody 🇳🇪) ont franchi une nouvelle étape historique dans la construction d’une armée unifiée de l’Alliance des États du Sahel (AES).
Cette réunion marque la volonté ferme des trois nations de rendre opérationnelle leur Force conjointe, une armée régionale autonome capable de protéger le Sahel sans dépendre d’aucune puissance étrangère.
🛡️ Une coordination militaire inédite et souveraine
Trois semaines après la rencontre des chefs d’état-major, qui avait posé les bases techniques de la coopération militaire — commandement unifié, renseignement partagé, et coordination opérationnelle — les ministres viennent désormais acter le déploiement concret de cette force.
L’objectif est clair : reprendre le contrôle total du territoire sahélien et neutraliser les groupes armés terroristes qui menacent la stabilité de la région depuis plus d’une décennie.
⛽ Un contexte de pressions régionales et de sabotages économiques
Cette avancée stratégique intervient dans un climat de tensions croissantes.
Les pays de l’AES font face à une crise du carburant au Mali, aggravée par des blocus et des embargos déguisés, souvent orchestrés depuis des pays voisins.
Ces pratiques, selon plusieurs observateurs, visent à affaiblir la résistance du bloc sahélien et à créer un mécontentement populaire pour déstabiliser l’unité de l’Alliance.
Des rumeurs persistantes évoquent le rôle de certaines puissances régionales, notamment l’Algérie, la Côte d’Ivoire, la Mauritanie et le Bénin, accusées par des sources proches du terrain de faciliter ou de tolérer le passage de convois et de réseaux logistiques hostiles à l’AES.
Bien que ces pays nient toute implication, les faits sur le terrain alimentent la méfiance croissante entre les États du Sahel et leurs voisins du sud et du nord.
💬 Les pays de l’AES unis et déterminés
Face à ces manœuvres, les dirigeants de l’AES réaffirment une même ligne :
aucune ingérence extérieure, aucune tutelle militaire, aucun diktat économique.
> « L’AES est prête à défendre son territoire, ses populations et ses ressources avec ses propres moyens », a déclaré un responsable militaire à Niamey.
L’armée conjointe, qui devrait être dotée de forces aériennes et terrestres intégrées, sera déployée progressivement dans les zones frontalières les plus vulnérables, notamment entre le Liptako-Gourma et la région des trois frontières.
🌍 Une étape décisive vers la souveraineté du Sahel
Cette montée en puissance militaire traduit une nouvelle ère pour l’Afrique sahélienne : celle d’une autonomie stratégique et d’une coopération interafricaine réelle.
En unissant leurs forces, le Mali, le Burkina Faso et le Niger envoient un message fort :
le Sahel n’est plus un terrain d’expérimentation étrangère, mais une terre de résistance et de renaissance africaine.
Dans un environnement régional marqué par des rivalités et des jeux d’influence, la création d’une Force unifiée AES représente un tournant historique.
Si certains voisins — comme l’Algérie, la Côte d’Ivoire, la Mauritanie ou le Bénin — semblent encore hésiter entre neutralité et complicité, les peuples du Sahel, eux, avancent avec une conviction inébranlable :
l’Afrique doit désormais assurer sa propre sécurité, avec ses fils, ses ressources et ses valeurs.

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